Ce serait reconnaitre que l’accompagnement des élèves en situation de handicap est une mission pérenne.
Ce serait permettre une véritable reconnaissance professionnelle des AESH et leur ouvrir de nouveaux droits avec un meilleur déroulement de carrière .
Ce serait éviter toute pression inutile et permettre l’exercice du métier de façon indépendante.
Alors que les AESH n’ont pas de statut, le rectorat nous a proposé en groupe de travail un sommaire de VADEMECUM ou leurs obligations seraient similaires à celles des fonctionnaires. Quelle honte ! Quel mépris!